L'art de rencontrer, de rêver et d'écrire sa propre histoire.

Bienvenue dans mon monde. Ici l’art devient une passerelle vers l’autre, une invitation à explorer ensemble les histoires, les rêves

et les mémoires qui nous façonnent.

Mon travail crée un espace où chacun peut se retrouver, participer et contribuer à l’écriture de son propre récit. À travers des œuvres collaboratives, je vous invite à sortir des sentiers battus, à croquer la vie à pleines dents, à rêver sans limites et à vivre pleinement l’expérience artistique.

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En un souffle

Particularités : un art qui réunit.

 

Caractéristiques : art immersif, participatif, collaboratif, collectif.

 

Techniques : linogravure, embossage à chaud et autres techniques d’estampes traditionnelles.

 

Notions : rencontre, partage, transmission

 

Thèmes : patrimoine, mémoire, ambivalence rêve/réalité

 

Inspiration : histoire de l’art, gastronomie, quotidien

 

Sujets : Suzanne Valadon, portrait-resto, portrait de collectivité, mondes flottants

Influences : primitifs flamands, expressionisme allemand, fauvisme, icônes byzantines, renaissance allemande.

 

Devise : Partageons l’instant, gravons l’histoire.

 

Nombre d’expositions : 90

 

Présences dans collections privées : 60

 

Présences dans collection publique : 1

Vous êtes une institution, une collectivité,

Autour de la mémoire

Je collabore avec des structures culturelles et éducatives pour concevoir des projets autour de la mémoire, de l’histoire et de l’art participatif. Que ce soit à travers des résidences, des expositions ou des interventions pédagogiques, j’imagine des formats adaptés aux publics et aux lieux qui m’accueillent. Mon travail peut prendre la forme de fresques gravées collaboratives, d’ateliers immersifs ou de performances in situ.

Mon objectif ? Créer des passerelles entre les gens, les époques, et les territoires à travers l’art de la gravure.

Et vous,
un particulier ?

Vivre pleinement

Mes œuvres s’adressent à ceux qui veulent exister pleinement, qui veulent suivre leur rêve et non le chemin qu’on a tracé pour eux. Chaque gravure raconte une histoire, et peut-etre la vôtre.

Vous souhaitez acquérir une œuvre, participer à un projet, ou faire graver un souvenir précieux ?

A coeur ouvert

Naissance d'un feu

J’avais 15 ans.

Une nuit, sans comprendre pourquoi, je me suis réveillée, le cœur soudainement clair.

C’était comme une révélation :

 « Je veux être une artiste ! »

Je me suis levée dans le noir, et je suis allée réveiller ma mère. Elle m’a regardée longuement, puis m’a dit, d’une voix douce :

“Dors. On en reparlera demain.”

Le lendemain, on en a parlé. Et encore le jour suivant. On en a reparlé tous les jours et chaque fois ce fut une nouvelle dispute.

J'ai grandi avec cette phrase en moi :
"rêve, mais ne dérrange pas trop"

Ma volonté, mon rêve, étaient trop forts pour être ignorés. Je ne lâchais rien.

Avec le temps, elle est devenue mon plus grand soutien, mais à l’époque, je ne savais pas encore que ce rêve me demanderait d’être inébranlable.

Cette phrase, « On en reparlera demain », s’est gravée en moi. Comme une consigne silencieuse : rêve, mais ne dérange pas.

Chaque fois qu’on me disait de faire autre chose, je travaillais deux fois plus pour mon rêve. C’était un combat constant.

Aujourd’hui, j’ai 39 ans. Je vis dans une ancienne ferme, mon mari sculpte pendant que je grave.
On a troqué les murs lisses pour la paille, les règles pour les étoiles, et la peur du jugement contre un troupeau de moutons philosophes : Egon et Schiele.

Ce n’est pas un conte de fée. C’est une reconquête.

Mémoire, transmission, oubli

Petite, mon père a été emporté par une maladie.
Plus tard, ma grand-mère m’oubliait petit à petit au fur et à mesure que je l’aimais davantage.
Ses silences me parlaient d’un monde qui disparaissait, et je n’avais pas les mots pour le retenir.

J’ai grandi avec cette peur :
celle de disparaître, d’être effacée, 

Effacée parce qu’artiste, dans une société qui préfère les lignes droites aux chemins de traverse.

La gravure est devenue mon ancrage.
Un acte de résistance contre l’oubli.
Une manière de m’inscrire dans le temps, de retenir ce qui m’est cher. De prendre conscience de mon existence.

Je grave pour ne pas oulier, je grave pour vous souvenir

Graver, c’est ma façon de dire :
“Je suis là. J’ai vu. J’ai aimé. Je me souviens.”

Mon travail explore ce que nous faisons de nos blessures,

Comment, malgré les pertes et les ruptures, nous continuons à vivre, à rêver et à créer.

Avec le temps, cette mémoire est devenue une matière à partager. Et c’est là que mon art devient un espace pour l’autre, un espace libre, co-créé

Un art vivant, immersif, cocréé

Je ne crée jamais seule.
Mes œuvres naissent dans la rencontre, le dialogue, l’instant partagé.

Je propose  un espace libre. Mais ce sont vos mots, vos gestes, vos silences qui le remplissent.
Un repas devient un portrait.
Un lieu devient un récit.

Chaque gravure est un tissage à plusieurs mains, un écho de ce que nous avons vécu ensemble.

 

Chaque oeuvre commence par une rencontre, chaque trait une histoire partagée

Je ne cherche pas à représenter.
Je cherche à révéler ce qui se dit quand on se rencontre vraiment.

Et si l’art était un miroir où chacun peut se reconnaître, se raconter, se rêver ?

Chaque œuvre devient alors une invitation :

Et toi, qu’as-tu à raconter ?

Qu’as-tu peur d’oublier ?

Ouvrir les possibles

Je veux réussir.
Pas pour la reconnaissance. Pas pour prouver que j’ai eu raison.
Mais pour montrer que c’est possible.

Si j’ai pu tracer ce chemin dans un monde où personne ne m’attendait,
alors d’autres le peuvent aussi — dans l’art, ou ailleurs.

J’ai grandi avec l’idée qu’il fallait rester sage, discrète, raisonnable.
Mais à chaque fois qu’on m’a dit que c’était impossible,
j’ai travaillé plus fort. J’ai tenu bon.

 

Ce que je trace, ce n’est pas un chemin parfait. C’est une preuve que c’est possible.

Aujourd’hui, si mes œuvres voyagent, si elles touchent,
c’est parce qu’elles portent cette conviction :

Notre force, c’est notre singularité.
Et elle mérite d’exister, pleinement.

Réussir, pour moi, ce n’est pas cocher une case.
C’est ouvrir une porte. Et si j’ai ouvert cette porte, c’est pour que tu puisses y passer à ton tour.

Souviens-toi que tu es vivant

Nous vivons dans un monde qui va trop vite.

Un monde qui épuise. Qui efface. Qui pousse à oublier ce qui est essentiel.

Mais je crois que l’art peut encore être une brèche, une poche d’air, un rappel puissant.

Créer, c’est refuser de disparaître.

Créer, c’est raviver ce qui semblait perdu.

Créer, c’est se souvenir qu’on est vivant.

Ressentez, rêvez, créez

Si tu sens que quelque chose en toi veut s’éveiller.

Si tu veux remettre de l’âme dans ta vie, du sens dans tes gestes, de la présence dans ton regard.

Si tu veux vivre une expérience artistique où tu n’es pas simple spectateur mais co-créateur.

Alors bienvenue  un monde où la beauté se grave dans la chair des jours.

 

Ressentez. Rêvez. Créez.

Et surtout, souvenez-vous : vous êtes vivants.

Une équipe

Laisser une place à l’autre, le reconnaître, l’accepter n’est pas toujours facile mais c’est une des fondations de mon travail. Aussi, il me semble naturel et important de vous présenter toutes ces personnes, précieuses, sans qui rien de cela n’existerait.

Depuis 10 ans il m’aide dans ma relation au public, la construction et l’aboutissement de mes projets. C’est grâce à lui, si j’ai pu faire le pas de quitter un CDI pour vivre de mon art. C’était en 2019.

Nous travaillons ensemble depuis cinq ans. Sa plume délicate adoucit mes textes et elle m’aide à transmettre mes idées. La majorité de mes textes  ont été co-créés avec elle.

Ada Gabor
Community Manager

C’est grâce à elle si je peux maintenir un contact quasi quotidien avec chacun de vous. Elle vous partage l’intimité de l’atelier avec générosité afin de vous inspirer et de garder une porte ouverte sur vos rêves.

Elle a su reconnaître qui je suis pour mieux vous le montrer. Elle est l’auteure de la plupart des photos du site.  Et nous réfléchissons désormais à une collaboration artistique

Je l’ai cherché sur Google, et je l’ai trouvée humaine parmi des robots. C’est elle qui a su mettre ma personnalité en lumière grâce à une image de marque forte et poétique.

Brigitte Loriers
Maman

Mon plus grand soutien, à l’origine de tous les possibles …

Simon Cohen Hadria
Mon mari

Partenaire dans la vie comme dans l’art, il gère la manutention des expo et est toujours dispo pour cogiter sur un travail en cours ou à venir.

Thierry Maurouzel
web designer

Un peu mon héros, il intervient chaque fois que ce site se rebelle. D’ailleurs sans lui, vous ne seriez probablement pas en train de me lire.

Sandrine
Une petite fée

Toute en discrétion, elle préfère rester invisible. Sandrine est celle qui apporte la petite touche de magie qui embellit la présentation de mes oeuvres car à ses doigts de fées

Vous
Mon moteur, mon inspiration

Sans vous rien de tout cela n’existerait, tout s’arrêterait.

Merci infiniment